samedi 31 décembre 2011

Nouvelle année


Nous avons franchi la nouvelle année avec un peu d'avance.
Nous sommes à Blenheim au Nord de l'ïle du Sud et nous nous nous apprêtons à rejoindre Wellington sur l'ïle du Nord. Les derniers jours de 2011 se sont passés sous des pluies abondantes et nous sommes particulièrement contents de retrouver le soleil ce 1er janvier. Avec la remontée vers le Nord et Auckland, nous espérons trouver l'été austral.
Nous vous souhaitons une belle et heureuse année 2012, avec beaucoup de beaux jours.

We are already in 2012. We are still on the South Island but about to take the ferry to go to Wellington. After some heavy rains, we are very happy to see the sun on the 1rst of January As we go further North, we hope to find the austral summer.
We wish you a very Happy New Year.

mercredi 28 décembre 2011

La Nouvelle-Zélande by night


Avec le camping, nous avons découvert le monde de la nuit néo-zélandaise (non ce n'est pas ce que vous pensez !)

L'éloignement du pays d'autres terres habitées et la faible urbanisation expliquent la clarté du ciel.
Nous n'avons jamais vu  de manière aussi éclatante la  voie lactée. C'est vraiment magnifique et spectaculaire. 

Nous n'avons malheureusement pas l'appareil photo adapté pour vous envoyer des images.
Alors imaginez !

dimanche 25 décembre 2011

Noël, + 12 h

Joyeux Noël à tous
Toute la semaine le temps s'est amélioré et aujourd'hui, il est tel que l'on se l'imaginait depuis la France dans l'hémisphère sud, nous pouvons nous baigner et passer la journée à l'extérieur. Nous pensions simplement que l'ambiance serait plus festive dans le camping où nous restons et nous fêtons Noël simplement tous les 4. Les enfants sont contents et nous avons pu joindre nos familles.
Merry Christmas
Eventually, we get a very sunny weather  as we thought it would be in the southern hemisphere.
Happy Christmas to everyone

 



vendredi 23 décembre 2011

Les Antipodes

Nous voici aux Antipodes !
12 h de décalage horaire, l'été au lieu de l'hiver mais il ne fait pas aussi chaud que nous l'espérions.
Nous avons quitté l'Australie quand l'été s'installait et ici, à Christchurch, c'est glacial !
Nous qui annoncions passer Noël sous la chaleur, à J – 8, cela nous semble compromis. La seule satisfaction, c'est que désormais, nous aurons porté tous les vêtements emmenés dans nos bagages.
Comme nous sommes arrivés à Christchurch la nuit, nous découvrons la ville le lendemain et c'est terrible. La ville a été touchée 2 fois en 1 an par un séisme important. Le 22 février 2011, une réplique du tremblement de terre de septembre 2010 a été très forte, elle a causé près de 180 morts, a entraîné l'effondrement de nombreux bâtiments dont la Cathédrale, la fermeture du centre ville pour cause de danger d'effondrements supplémentaires. Nous sommes impressionnés par le silence d'un centre ville qui a dû être très animé. Il est exceptionnellement ouvert aux visiteurs ces derniers week-ends de l'année. Aujourd'hui, des magasins ont réouvert dans des containers de couleurs au bord du centre ville sécurisé. Les habitants sont traumatisés, près de 7.000 répliques ont été enregistrées.
Ce 23 décembre, 2 nouvelles répliques importantes ont eu lieu. Nous étions à plus de 180 km de Christchurch à ce moment là, nous ne nous sommes rendus compte de rien.  Ces nouvelles secousses remettent en cause les travaux effectués ou prévus et affectent énormément les habitants à la veille de Noël. Il faudra énormément de temps pour que la vie redémarre normalement.





L'arrivée du soleil et la visite de la péninsule d'Akaroa nous redonnent du tonus. Il ne s'agit pas d'être morose au moment de fêter Noël avec les enfants. Les paysages sont magnifiques.
La péninsule a été créée par l'explosion de deux énormes volcans, la mer est rentrée à l'intérieur d'un des cratères.

Le village d' Akaora revendique son passé français et nous apprenons que l'île du Sud a failli être française.


 Nous avons changé notre programme et renonçons à aller plus au Sud, les enfants trouvent le temps trop long en voiture. Aller plus au Sud signifierait beaucoup d'heures en plus. Pour rejoindre Auckland, nous devons déjà au minimum parcourir 1.500 km, ce qui peut sembler très raisonnable mais l'est beaucoup moins si l'on veut tenir compte des enfants, de leur aversion pour les longs déplacements, des routes montagneuses.



Donc direction le Nord, avec sans doute des paysages moins spectaculaires mais nous les trouvons déjà tout à fait à notre goût.
Contrairement à l' Australie, nous n'arrivons pas à joindre des membres Servas. Il est vrai que la période de Noël n'est pas l'idéal et que sur l'île du Sud, le nombre de membres est réduit.
Du coup, nous rencontrons plus de voyageurs en allant dans des campings qui proposent tous des « cabins ». Les enfants sont ravis, les terrains de jeux sont super et ils peuvent rencontrer quelques Français, souvent des expatriés avec leur famille en vacances.

Avec bien sûr aussi des rencontres nature, incontournables dans la région : les baleines et les otaries à fourrure.
A faire seul ou en organisé.







samedi 17 décembre 2011

We will have tea

We enjoyed our trip in Australia. People have been so friendly with us.
The first thing wich stroke the children is the contrast with Thailand.
Hugo : « we have been in Australia for one day and I didn't see any poor people »
Luc about Jodie who works for the Red Cross in Adelaide : « how can she work, she has to find poor people first. »
Of course, there is poverty in Australia but we really have the impression of a country in expansion.
One anecdote we find funny.
When speaking on the phone with our Servas host, every time we were told : « of course, we will have tea » and everytime we were offered a dinner (which is nice). After asking, it turned out to be that this expression means in Australia an invitation to dinner quite informal.
We enjoyed that as well.



After these two weeks between Adelaide and Melbourne, we are going next to New Zealand, our antipodes. 
We will be back in Australia for two weeks in Sydney from January 19th.

Tea time


Pendant ces 15 jours en Australie, nous avons énormément apprécié l'hospitalité des Australiens (Servas bien sûr mais aussi les Australiens dans la rue prêts à engager la conversation ou à aider)
Les enfants ont été marqués, eux, tout de suite par le contraste avec la Thaïlande :
Hugo : « cela fait un jour qu'on est en Australie et je n'ai toujours pas vu de pauvre. »
Luc à propos de Jodie qui travaille pour la Croix Rouge à Adélaïde : « mais pour travailler, comment fait-elle ? Il faut qu'elle trouve des pauvres ? »
Il est vrai que par rapport à la Thaïlande le contraste est saisissant et que nous n'avons pas vu beaucoup de pauvreté, nous avons l'impression d'un pays en plein essor. L'Europe et la crise paraissent bien loin.

De manière plus anecdotique :
  • début Décembre, dès l'atterrissage, nous avons pris conscience de l'imminence de Noël avec la présence des décorations dans tous les magasins. Jusqu'alors, en étant resté en Thaïlande, nous avions échappé à cette longue période avant Noël.
  • « we will have tea » étaient les mots très rapidement prononcés par nos hôtes Servas et nous passions à table. Il a fallu se rendre à l'évidence, cette expression n'avait rien à voir avec le thé anglais et indiquait que nous dînerions avec eux. Nous en avons eu la confirmation une fois la question posée. En général, cela indique une invitation à dîner d'une manière informelle et simple, très souvent un barbecue accompagné de légumes.
  • L'Australie est immense ; nous le savions mais déjà parcourir cette portion ridicule sur une carte (Adelaide / Melbourne) était suffisante dans le cadre d'un voyage avec des enfants.
Voyager avec les enfants impose un rythme différent. Les trajets en voiture les ennuient très rapidement même si le paysage nous paraît superbe. La nécessité de dispenser un enseignement régulièrement également nous obligent à être moins ambitieux pour les visites ou les excursions.

Rendez vous aux antipodes : la Nouvelle Zelande – 12 heures décalage.


Melbourne



Après avoir musardé le long d'Ocean road et de ses paysages superbes, il ne nous reste plus que 2 jours à consacrer à une ville emblématique de l'Australie : Melbourne.
Ville de 4 millions d'habitants, avec de nombreuses communautés dont une communauté grecque très importante, elle conjugue modernité et traditions. Elle nous séduit par son atmosphère, ses nombreux parcs, cafés, restaurants.



Great Ocean Road

Nous avons adoré parcourir la côte entre Adélaïde et Melbourne même si nous avons un peu mal évalué les distances pour certaines étapes. Les enfants n'ont pas oublié de nous le faire savoir. Ils n'apprécient pas du tout de passer du temps dans la voiture.
Après avoir quitté Adélaïde et son charme tranquille, nous découvrons de grandes étendues arides et des villages souvent constitués de quelques maisons et d'une école le long de la route. Régulièrement nous nous demandons où sont les habitants.
Nous nous arrêtons à Padthaway où nous aurons la possibilité de visiter l'école primaire de 50 élèves remarquablement équipée, Hugo et Luc ne sont pas spécialement contents de se replonger dans le monde scolaire.
Nous rejoignons la côte près de Portland, très déchiquetée avant de commencer véritablement la « Great Ocean Road » et ses passages obligés que sont les « twelve apostles », les forêts primaires, et différents villages dont Torquay.
Tout au long de la route également nous pourrons voir ou essayer de voir les animaux du pays.





Arrivés à Torquay, capitale du surf et sièges des marques Ripcurl et Quick Silver, les enfants auront leur 1er cours de « bogey surf » avec Rosemary (Servas). Ils ont adoré malgré la température de l'eau froiiiiiiide. En effet, l'été peine à s'installer et nous devons garder une petite laine la plupart du temps.

Nous finissons notre parcours à Melbourne via Ocean Grove après avoir parcouru plus de 1 500 km.



vendredi 16 décembre 2011

Servas Australia


Here we are Down Under.

After 10 more hours in the plane, we arrived in Adelaïde, in South Australia. And we are greeted by a Servas member.
We do not know if you we have spoken to you about Servas.
Servas is an organisation of people willing to meet people from different nationalities in order to build a more peaceful world .
Every time, we have the opportunity to host or to visit as travellers, it has been great.
In Australia, Servas hosts have been wonderful with us. Every time it was different but fantastic. Thanks to Servas, we visited schools, lived on a farm, tried bogey-board, shared the life of Australian people.
If you want to know about Servas:

We really have to say thank you to all those who have greeted us.
We contacted just a few Servas members and nearly all of them say okay and we enjoyed so much to be received so well.
We hope to see them in France.




Servas


Servas c'est génial !
Avec un certain nombre d'entre vous, nous en avons déjà parlé. Il s'agit d'une association créée après la 2nde guerre mondiale dont le but est de développer les
échanges entre les personnes de différentes nationalités afin de construire un monde plus pacifique et éviter de nouveaux conflits. On peut s'inscrire comme voyageur et/ou hôte.
Pour faciliter ces échanges, dans tous les pays, des gens ouvrent leurs portes et vous accueillent chez eux ou se proposent de faire découvrir leur ville ou leur région.... et cela fonctionne. Ce concept a été repris par Couchsurfing.
Quand vous voyagez, vous rencontrez en général d'autres voyageurs ou des personnes liées aux activités du tourisme. Avec Servas, vous faites directement la connaissance des habitants et vous êtes même immergés dans leur environnement. Et ce qui nous étonne c'est qu'à chaque fois cela se passe de manière fantastique, à chaque fois, cela nous donne foi en l'être humain.



En Australie, nous avons été accueillis dès l'aéroport et chacune des rencontres a été pour nous inoubliable. Les enfants ont pu jouer avec d'autres enfants, nous avons pu visiter des écoles, vivre dans une ferme, s'initier au bogey surf, écouter et essayer de jouer du didjeridoo, participer à des Christmas party, bref partager leur mode de vie grâce leur gentillesse. Nous espérons qu'un jour, ils viendront nous voir. C'est fort possible car les Australiens, notamment ceux aux ascendances européennes, voyagent beaucoup.
Si vous voulez en savoir plus :

jeudi 8 décembre 2011

Animaux


« Ils ont de la chance en Australie : ils ont tous les animaux que nous avons, plus plein d'autres » dixit les enfants.


Il est fascinant de découvrir les koalas, les kangourous ou même les échidnés que nous n'avons pu capturer en photo une sorte de hérisson beaucoup plus gros.
Pendant longtemps, nous avons plus vu de panneaux que d'animaux mais finalement nous avons été récompensés de tous nos efforts et avons pu les approcher.





mardi 6 décembre 2011

Down under

Nous voilà down under. 
En anglais, Down Under, littéralement en bas dessous fait référence à l'Australie. Mais pour nous, ce ne sont pas encore les Antipodes.
Après la Thaïlande, nous retrouvons un mode de vie occidental et nous avons moins l'impression d'être en voyage. Le pays est un mélange de l'Angleterre et de l'Amérique du Nord : accent britannique, cricket, uniforme pour les écoliers, larges avenues, grands parcs dans les villes, grandes distances entre les villes.

Une différence notable toutefois : l'importance de la gestion de l'eau. Toutes les maisons ont un énorme réservoir pour stocker les eaux pluviales. L'ensemble du pays est soumis à des problèmes d'approvisionnement en eau, problèmes qui ne peuvent que s'accroître avec le réchauffement climatique et la croissance du pays. Il s'agit d'un enjeu important et les discussions sont de plus en plus vives par exemple entre les différents états (l'Australie est une fédération), partenaires (agriculteurs, entreprises, particuliers) pour la gestion du fleuve le plus important du pays : le Murray. A noter toutefois que 2011 a été beaucoup plus humide après des années de sécheresse.



En 15 jours, nous devons rejoindre Melbourne, à près de 950km d'Adélaïde mais nous avons choisi de suivre la côte et notamment la « Great Ocean Road ». Le kilométrage sera donc plus important.

dimanche 4 décembre 2011

1ers contacts avec l'Australie


Nous échangeons nos derniers bahts contre des dollars australiens, monnaie qui s'est fortement valorisée par rapport à l'euro ces dernières années grâce à la bonne santé de l'économie stimulée par la croissance en Asie et ses ressources naturelles importantes.(nous allons changer de train de vie).


La découverte des billets australiens réjouit tout le monde : ils sont colorés et imprimés sur du papier indéchirable, on pourra les passer dans la machine à laver ou se baigner avec ! Voire se disputer âprement un billet.


Gosh ! Il fait froid ici, 17°, l'été en Australie qui a commencé le 1er décembre n'est pas encore chaud. Après les 33° de Bangkok, nous avons froid.
Nous constatons également qu'après avoir eu 10 h de décalage lors de l'escale à Sydney, il est de 9 h 30 à Adélaïde ! En effet, il y a une ½ h d'écart entre l'Australie du Sud et l'état de Victoria ou de Nouvelle-Galle du Sud. Nous ne savions pas qu'il existait des variations d'une 1/2 heure.


Nous avons nos premiers contacts Servas, et comme d'habitude, c'est super.


samedi 3 décembre 2011

Mes lectures du mois de novembre

J'adore lire mais il n'est pas toujours facile de trouver des livres en Français pour moi.
Voici mes dernières lectures - Hugo
 
- Harry Potter à l'école des sorciers – J.K. Rowlings
J'ai hâte de lire le suivant.

- L'ile des sorciers – Anthony Horowitz
J'avais déjà lu Alex Rider de cet auteur et je l'avais bien aimé. Celui-ci aussi.

- Les disparus de Saint Agil – Véry
C'est une histoire qui fait un peu peur car il y a des élèves qui disparaissent d'un pensionnat.

- Claudine de Lyon – Marie-Christine Helgerson
C'est l'histoire d'une petite fille qui ne veut pas faire le métier de ses parents mais qui veut dessiner et surtout aller à l'école pour savoir lire et écrire. Cette histoire se passe à Lyon à la fin du 19e siècle.

- Sans atout et le cheval fantôme – Boileau-Narcejac
François ( dit Sans Atout ) va dans le château de son père qui veut le vendre mais il y a un fantôme qui vient tous les soirs à minuit. J'aime bien ce genre de livre où c'est un enfant qui résout l'énigme.

- La vengeance de la momie – Evelyne Brisou Pellen
Ce livre est un peu triste à la fin de l'histoire je vous laisse découvrir pourquoi.
Info : Même Luc l'a lu !

- Au pays de mes histoires Mapurgo
Livre de nouvelles (petites histoires) plus ou moins tristes ou merveilleuses et ma préférée est celle de la licorne. C'est l'histoire d'une bibliothécaire qui raconte des histoires aux enfants après l'école.

- 10 petits nègres – Agatha Christie
L'histoire se passe sur l'ïle du Nègre et il y a plusieurs meurtres. Cette histoire fait peur. On ne connaît l'assassin qu'à la fin du livre. J'ai beaucoup aimé car il y a beaucoup de suspens.

Mes livres préférés de la liste :
1/ Les 10 petits nègres d' Agatha Christie
2/ Harry Potter
3/ les disparus de Saint Agil

Thaïlande - suite et fin


Nous avons beaucoup apprécié la Thaïlande que nous visitions pour la première fois. Les Thaïlandais sont adorables : souriants, et à aucun moment agressifs. Bien sûr dans les régions touristiques, nous sommes très sollicités mais cela reste toujours bon enfant. Les échanges ont été limités car peu des Thaïlandais que nous avons rencontrés maîtrisaient l'anglais hormis lorsque nous sommes restés à Ko Lanta.
Le pays est magnifique et très facile à visiter, plage superbe au Sud, Nord plus authentique à notre goût. Nous n'avons visité qu'une partie du pays. Nous n'avons pas du tout vu l'Est en direction du Cambodge, l'Ouest et nous aurions aimé découvrir les plaines au nord de Bangkok avec Ayuthaya notamment mais les inondations nous en ont empêchés.
Le budget est très raisonnable : une chambre pour 2, 10 à 30 euros, repas pour 4 : 6 à 25 euros.
Plus d'un mois s'est déjà écoulé depuis notre départ, nous ne voyons pas le temps passer et sommes très heureux de réaliser ce projet que nous avions à coeur.
Quant aux enfants, la situation est différente puisqu'il ne s'agit pas de leur choix :
Luc est aux anges avec ses parents,
pour Hugo c'est plus difficile et il nous demande régulièrement de rentrer en France.
A la fin du séjour en Thaïlande, cela semble aller mieux.

Notre prochaine destination l'Australie du Sud. Nous aurons une voiture pour parcourir la distance entre Adélaïde et Melbourne (env 800 km).



jeudi 1 décembre 2011

Les inondations

Nous sommes revenus à Bangkok et les barrières montées devant les magasins sont en général en voie de démolition.
Les images à la télévision et celles que l'on a vues depuis l'avion montrent que tout le nord de Bangkok est encore largement sous les eaux.
Le niveau d'eau sur le Chao Phraya est haut mais le centre est resté épargné. Le trafic fluvial est ralenti et la circulation sur les klongs (canaux) est très limitée.
Pour nous, pas de marché flottant, c'est un moindre mal. Il reste beaucoup de choses à voir et à faire.
Il est pour nous difficile de comprendre cette situation qui dure depuis plus d'un mois alors que nous n'avons pas eu de pluie dans ce même laps de temps. Les pluies des mois précédents au nord et la topographie (Bangkok est à peine au-dessus du niveau de la mer) peuvent l'expliquer. Ils envisagent dans le futur de construire un tunnel à plus de 100 km au nord de Bangkok pour évacuer l'eau en cas d'inondations.
De plus, pour protéger le centre, des digues ont été construites, qui amplifient les inondations en amont. Des manifestations de riverains ont régulièrement lieu pour se plaindre de cette injustice.
En tous cas, les enfants ne semblent pas gênés et multiplient les plongeons devant nous.





The floodings


We have been back to Bangkok one month after our arrival and it is still flooded around. 
We found it difficult to understand it as for the last 4 weeks we nearly did not have any rain. Apparently, it is due to the rains before, specially in the north and to the topography of the Bangkok area. They are thinking of building a tunnel 100 km up north to evacuate the water in the future!

En route vers la tour Baiyoke II


Après une visite plutôt exténuante du quartier chinois, nous avons pour objectif d'assister au coucher de soleil depuis le sommet de cette tour la plus haute du pays, elle culmine à 309 m de haut et possède une terrasse panoramique tournante (mazette).
Nous refusons l'offre d'un taxi qui ne voulait pas accepter nos conditions, (la négociation est obligatoire quand le chauffeur n'utilise pas le compteur) et optons pour rejoindre notre objectif en transport en commun. Résultat, un prix nettement plus élevé que celui proposé par le chauffeur, un temps considérable, pas mal de marche mais la satisfaction d'avoir pris les bus, le métro et le Skytrain plutôt impressionnant. Le métro aérien circule à près de 30 mètres de hauteur.
Et à l'arrivée, nous avons apprécié le panorama sur la gigantesque métropole.